La Transformation Digitale d’un Cabinet Médical en Ville avec STARMAC Digi'T – 25 Ans d’Expertise au Service des Médecins
- david41251
- 23 mars
- 9 min de lecture
Dernière mise à jour : 25 mars

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STARMAC Digi'T célèbre 25 ans d’expertise dans la transformation digitale des cabinets médicaux, un parcours qui a accompagné les médecins à travers une révolution numérique majeure. Tout a commencé il y a 25 ans, lorsque les cabinets médicaux étaient encombrés d’armoires remplies de dossiers papier : courriers, comptes rendus de spécialistes, résultats d’analyses biologiques, et autres documents essentiels. STARMAC Digi'T et sa division dans l'informatique médicale STARMAC Medical Partner a initié la numérisation de ces dossiers en introduisant des scanners performants et une gestion électronique des documents (GED), tout en recommandant des logiciels pionniers comme MédiStory, conçu pour Mac, qui a simplifié la gestion des dossiers patients.
Ensuite est arrivée la carte Vitale en France, un tournant décisif. STARMAC Digi'T et sa division STARMAC Medical Partner a aidé les médecins à identifier formellement leurs patients et à passer des feuilles de soins papier aux feuilles de soins électroniques (FSE), transformant la gestion des remboursements et intégrant la prise en charge des mutuelles. "Il y a 15 ans, moins de 15 % des médecins utilisaient la télétransmission, souvent par habitude ou pour des raisons pratiques," explique Clara, CDTO de STARMAC Digi'T. "Aujourd’hui, grâce à des outils que nous avons mis en place, le taux de télétransmission dépasse 99 %, selon la CPAM."
Puis, les patients ont commencé à prendre leurs rendez-vous en ligne via des plateformes comme MAIIA, un changement que STARMAC Digi'T et sa division STARMAC Medical Partner a accompagné en formant les médecins à gérer leurs disponibilités numériques. À noter, pour les utilisateurs de MédiStory, une nouveauté prometteuse : un agenda intégré qui sortira prochainement et qui va révolutionner la prise de rendez-vous pour les médecins équipés de ce logiciel.
L’intelligence artificielle (IA) a ensuite transformé la pratique médicale. Intégrée dans MédiStory, l’IA apprend les habitudes des médecins – par exemple, leur façon de classer les documents – et met en avant des informations cruciales, comme les allergies ou les traitements de fond des patients. Enfin, la dernière innovation en date, l’IA vocale, a révolutionné le métier : elle capte les conversations entre le médecin et le patient pour générer automatiquement des courriers et ordonnances, un gain de temps immense.
Au fil de ces 25 ans, STARMAC Digi'T a aussi intégré le dossier médical partagé (DMP), permettant aux médecins de déposer les données des patients dans un espace sécurisé, accessible avec leur accord à tous les soignants du parcours de soins. Cela est crucial pour les urgences, comme le SAMU, qui peut consulter les données critiques (traitements, allergies) pour adapter sa prise en charge. Des messageries sécurisées comme Pandalab et Mailiz ont également été mises en place, permettant des échanges entre professionnels et avec les patients. Aujourd’hui, les médecins affichent une maturité numérique de plus de 80 %, l’un des taux les plus élevés parmi les corps de métier, et STARMAC Digi'T a joué un rôle clé dans cette transformation.

C’est dans ce contexte que le Dr. Martin, 45 ans, médecin généraliste dans un petit cabinet médical en ville à Bordeaux, a fait appel à STARMAC Digi'T pour moderniser sa pratique. Avec 300 patients par mois, le Dr. Martin est apprécié pour son écoute et ses soins personnalisés, mais il est freiné par une gestion archaïque : des dossiers papier qui s’entassent dans une petite pièce, causant des retards et des erreurs. Retrouver un dossier lui prend 10 minutes, et il fait environ 5 erreurs par mois, comme prescrire un mauvais médicament, ce qui met ses patients en danger et expose son cabinet à des plaintes.
Le Dr. Martin veut passer au numérique pour une gestion des dossiers patients numériques, ce qui pourrait réduire les erreurs de 50 % et lui permettre de proposer des téléconsultations, un marché en croissance de 20 % en 2024 selon Santé Numérique France. Mais il n’a aucune compétence digitale, et sa secrétaire, Sophie, est tout aussi novice. Il craint aussi les risques, comme une perte de données ou un piratage, qui pourrait entraîner une amende RGPD de 20 000 €.
Clara, CDTO de STARMAC Digi'T, propose un accompagnement sur mesure pour le Dr. Martin, en s’appuyant sur les indicateurs de performance (KPI) fournis par la Caisse Primaire d’Assurance Maladie (CPAM) pour montrer concrètement les progrès de sa transformation digitale. La CPAM collecte des données précises sur les pratiques des médecins, comme le taux de télétransmission (99 % en 2024), le taux de remplissage du DMP, ou encore le taux d’utilisation des messageries sécurisées comme Pandalab et Mailiz. "Ces KPI sont une mine d’or," explique Clara au Dr. Martin. "Ils te permettent de voir où tu en es et de mesurer l’impact de chaque changement que nous allons mettre en place."
Clara commence par un audit de transformation digitale dans la santé, un check-up complet pour voir où en est le cabinet : ce qui fonctionne, ce qui bloque, et ce qui pourrait être amélioré. Avec 25 ans d’expérience, STARMAC Digi'T et sa division spécialisée STARMAC Medical Partner savent comment transformer un petit cabinet médical en ville, où la révolution numérique est encore plus flagrante. Elle utilise des méthodes simples pour structurer le projet, en commençant par un SWOT : "C’est comme si tu faisais un bilan de ton cabinet, comme quand tu vérifies tes stocks de médicaments," explique-t-elle au Dr. Martin. "On regarde ce que tu fais bien, ce qui ne va pas, ce qui peut t’aider, et ce qui pourrait te poser problème."
Ils notent :
Ce qui va bien : Le Dr. Martin offre des soins personnalisés, et 90 % de ses patients reviennent.
Ce qui ne va pas : Les dossiers papier causent des erreurs (5 par mois), et le Dr. Martin et Sophie n’ont aucune compétence digitale.
Ce qui peut aider : La digitalisation peut réduire les erreurs de 50 % et permettre des téléconsultations, un marché en croissance de 20 % en 2024 (Santé Numérique France).
Ce qui peut poser problème : Les cabinets modernes attirent les patients du Dr. Martin, et une fuite de données pourrait entraîner une amende RGPD de 20 000 €.
Clara utilise l’AMDEC pour repérer les risques : "C’est comme une liste de tout ce qui pourrait mal tourner." Ils identifient :
Problème 1 : Perte des données des patients.
Conséquence : Erreurs médicales, amende RGPD, perte de confiance.
Gravité : Très élevée (10/10).
Solution : Clara met en place des sauvegardes quotidiennes sur un serveur sécurisé et forme l’équipe à la cybersécurité, une pratique que STARMAC Digi'T et sa division STARMAC Medical Partner perfectionnent depuis 25 ans.
Problème 2 : Sophie fait des erreurs en saisissant les données.
Conséquence : Mauvais traitements, 10 plaintes par mois.
Gravité : Élevée (8/10).
Solution : Clara propose une formation et un logiciel simple, comme MédiStory, que STARMAC Digi'T et la division STARMAC Medical Partner recommandent depuis ses débuts.
Clara fait une AIA pour écouter Sophie : "C’est comme lui demander ce qu’elle pense." Sophie a peur : "Je suis déjà débordée, je n’ai pas le temps !" Clara la rassure : "Ce logiciel, c’est comme un carnet numérique, mais plus rapide. Tu vas gagner du temps." Clara organise une formation d’un mois, une méthode éprouvée par STARMAC Digi'T, pour apprendre à utiliser un ordinateur, taper les dossiers, et vérifier les infos.
Pour aller plus loin, Clara propose au Dr. Martin d’intégrer des capteurs IoT directement connectés à MédiStory : "Avec des appareils comme un ECG, un tensiomètre, un spiromètre, un oxymètre, et bien d’autres, tu peux surveiller les signes vitaux de tes patients en temps réel, et toutes ces données s’intègrent automatiquement dans MédiStory," explique-t-elle. "Cela te permet d’avoir une vue complète de la santé de tes patients sans quitter ton logiciel." Le Dr. Martin, intrigué, adopte un tensiomètre connecté pour commencer, et les données s’affichent instantanément sur son iPad lors des consultations.
Mesurer les Progrès avec les KPI de la CPAM
Clara montre au Dr. Martin comment les KPI de la CPAM peuvent l’aider à suivre sa transformation digitale. Avant le projet, son taux de télétransmission est à 0 %, car il utilise encore des feuilles de soins papier. Clara met en place MédiStory et active la télétransmission. Après un mois, le taux de télétransmission passe à 80 %, et après trois mois, il atteint 99 %, aligné sur la moyenne nationale. "Tu vois, grâce à la CPAM, on peut mesurer ton progrès," explique Clara. "Tu es passé d’un cabinet 100 % papier à un cabinet presque entièrement numérique en quelques mois."
Le taux de remplissage du DMP est un autre KPI clé. Au départ, le Dr. Martin n’utilise pas le DMP. Clara l’aide à intégrer ses données patients dans cet espace sécurisé, accessible aux autres soignants avec l’accord des patients. Après trois mois, son taux de remplissage du DMP atteint 70 %, un excellent début. "Cela montre que tes données sont mieux partagées, ce qui est crucial pour les urgences comme le SAMU," souligne Clara.
Enfin, Clara introduit les messageries sécurisées Pandalab et Mailiz. Le KPI de la CPAM sur l’utilisation des messageries sécurisées passe de 0 % à 50 % en trois mois, car le Dr. Martin commence à échanger avec d’autres professionnels et ses patients de manière sécurisée. "Ces chiffres te montrent que tu progresses à chaque étape," dit Clara.
Clara structure le projet avec le PMBOK : "C’est comme une liste de choses à faire." Elle mesure aussi des KPI internes, comme le "temps de saisie" : "C’est comme vérifier combien de temps tu mets à remplir un dossier. Si tu passes de 10 à 5 minutes, c’est bien." Au début, un KRI, le "nombre d’erreurs", montre 3 erreurs par semaine : "C’est trop." Clara intensifie la formation, et les erreurs tombent à 0.
Clara ajoute des analytics : "C’est comme un tableau qui te montre tout sur tes patients." Ils mesurent un KPI interne, le "taux de satisfaction patient" : "C’est comme vérifier si tes patients sont contents. Si 9 sur 10 le sont, c’est 90 %." Après ajustements, il atteint 92 %. Un KRI, le "nombre d’incidents de sécurité", reste à 0 grâce aux sauvegardes et aux protocoles de sécurité que STARMAC Digi'T maîtrise depuis 25 ans.
Conclusion :
Ce qui n’a pas fonctionné : Le cabinet du Dr. Martin avait trop d’erreurs (3 par semaine) et des données non protégées à cause des dossiers papier.
Méthodes employées : SWOT pour faire un bilan, AMDEC pour repérer les problèmes, AIA pour écouter Sophie, PMBOK pour organiser, et analytics pour suivre les données, en s’appuyant sur les KPI de la CPAM (taux de télétransmission, taux de remplissage du DMP, utilisation des messageries sécurisées).
Indicateurs : KPI "temps de saisie" (10 à 5 minutes), KRI "nombre d’erreurs" (3 à 0), taux de télétransmission (0 % à 99 %), taux de remplissage du DMP (0 % à 70 %), utilisation des messageries sécurisées (0 % à 50 %).
Retour à zéro : Clara a suspendu l’utilisation du logiciel pour intensifier la formation.
Résultat final : Grâce à l’expertise de STARMAC Digi'T et aux KPI de la CPAM, le Dr. Martin digitalise ses dossiers, réduit les erreurs à 0, et gagne 20 % de patients grâce à la téléconsultation.
Bilan de l’Utilisation de MédiStory : L’utilisation d’un logiciel comme MédiStory, recommandé par STARMAC Digi'T et mis en œuvre par la division STARMAC Medical Partner, a été au cœur de la transformation digitale réussie du Dr. Martin. Ce logiciel révolutionne la gestion des dossiers patients en intégrant automatiquement la numérisation des documents, simplifiant ainsi le passage du papier au numérique. Les modules ExpressVitale et VigiPaiement permettent une facturation fluide des feuilles de soins électroniques (FSE) et une comptabilité précise, libérant le médecin des tâches administratives chronophages. Dans la même interface, MédiStory offre un accès direct au DMP, avec la capacité à envoyer automatiquement les données critiques (comme les traitements ou allergies) selon des réglages personnalisés, renforçant la coordination des soins.
MédiStory intègre également les messageries sécurisées Mailiz et Pandalab, permettant au Dr. Martin d’échanger avec ses confrères et ses patients sans quitter l’interface. Les KPI de la CPAM, comme le taux de télétransmission ou le taux de remplissage du DMP, sont affichés directement dans MédiStory, offrant une vue claire de la progression numérique. De plus, le logiciel permet de réaliser des statistiques précises sur la patientèle, par exemple sur des pathologies comme le diabète ou l’hypertension, et d’extraire ces données pour les envoyer automatiquement à l’Observatoire de la Médecine de Ville, en lien avec des organismes comme le Réseau Sentinelle, qui compile des statistiques poussées pour la recherche médicale.
MédiStory prend également en charge l’intégration de capteurs IoT, tels que l’ECG, le tensiomètre, le spiromètre, l’oxymètre, et bien d’autres, permettant un suivi en temps réel des données de santé des patients directement dans l’interface, comme l’a proposé Clara au Dr. Martin pour enrichir son suivi médical. Enfin, MédiStory intègre l’IA vocale LOQUII, qui va bien au-delà de la simple retranscription : elle analyse les conversations entre le médecin et le patient pour générer automatiquement des ordonnances, courriers, comptes rendus, et d’autres services à venir. Une dernière pépite est à venir : l’intégration d’une nouvelle plateforme de prise de rendez-vous en ligne, prévue pour le prochain trimestre, qui promet d’être disruptive et de concurrencer directement les grands noms du marché, sans les citer. En somme, l’utilisation d’un outil comme MédiStory, adapté aux besoins des médecins, a été un facteur clé de la transformation digitale réussie du Dr. Martin, lui permettant de moderniser sa pratique tout en restant centré sur ses patients.
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Ce récit est purement fictif, et toute ressemblance avec des personnes, entreprises ou situations existantes ou ayant existé est fortuite. Il est destiné à des fins éducatives et informatives uniquement.
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